THYSSENKRUP

Concours pour une sculpture symbole de Dubaï – 2009

Le rêve

En regardant les peintures de Pierre Soulages ou en se déplaçant autour des sculptures d’Anish Kapoor, le marcheur fait partie de l’art.
Sa présence à côté de la pièce d’art influence sa couleur, sa forme aussi si vous considérez la réflexion sur la surface comme la surface elle-même.
De cette façon, la pièce d’art devient quelque peu indéfinie sans l’observateur.
De même, quand Manet a peint des fruits, il a réellement peint l’espace entre les fruits, mais pas les fruits eux-mêmes.
Dans ce projet, les surfaces intérieures des murs courbes sont recouvertes d’acier inoxydable poli, produisant un effet miroir déformé.
À chaque instant du jour, dans chaque endroit du coeur du bâtiment, la lumière naturelle rend l’espace unique.
Il vibre à mesure que vous vous déplacez.
Les limites de l’espace deviennent abstraites.
Vous ressentez une apesanteur, comme si vous étiez en rêve.
La nuit, un ensemble de lumières LED augmente l’effet dramatique et pourrait créer par réflexion infinie tous les types de figures, en rappelant souvent les fleurs que vous recherchez.
En utilisant les ascenseurs en verre menant à la barre panoramique, vous traversez cet espace incroyable, un espace comme un battement de coeur, continu, mais parfois ouvert, parfois fermé.
Vous découvrez, peu à peu, à mesure que vous montrez, la réalité, les vues sur Dubaï aux quatre coins ouverts.

La réalité

La réalité de Dubaï est l’ensemble d’aujourd’hui et de demain des constructions les plus impressionnantes du monde.
Notre projet est la création d’un bâtiment unique, un défi dans la construction.
Il est défini par quatre palmiers verticaux, ou quatre pages d’un livre cher à la culture arabe.

RÉALISATIONS & PROJETS

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